DHQ, le meilleur protecteur capillaire

La DHQ (dihydroquercétine) est un flavonoïde extrait de l’écorce du mélèze de Sibérie. Les flavonoïdes étaient déjà utilisés par la médecine chinoise qui exploitait depuis bien longtemps leur action antioxydante. En Occident, ils ont été découverts par hasard en 1936 par le Hongrois Albert Szent-Györgyi (Prix Nobel de médecine) qui a exploré et analysé leurs propriétés bio­chimiques.

Après-guerre, le clinicien russe Alexander Salmanoff, spécialiste de la capillothérapie, a mis au point des bains thérapeutiques utilisant l’oléorésine du mélèze de Sibérie, riche en DHQ. Aujourd’hui, de nombreuses études ont été menées en Russie, dont les résultats ont mis en évidence les effets très bénéfiques des flavonoïdes, et en particulier de la DHQ, sur le système sanguin et capillaire, mais aussi sur le cerveau, le cœur et les poumons.

Des propriétés puissantes

La DHQ est la molécule active de la térébenthine, l’oléorésine extraite des résineux. Elle se distingue de la quercétine, un autre flavonoïde, par sa composition chimique. La DHQ a en effet deux atomes d’hydrogène supplémentaires par molécule, ce qui en fait, disent les études cliniques, un antioxydant plus puissant.

La DHQ spécifique issue du mélèze sibérien est différente des dérivés des autres espèces de mélèzes. C’est un antioxydant hautement absorbable et puissant, beaucoup plus que les autres flavonoïdes, qui a une libération lente, qui est capable de circuler dans tout l’organisme pendant 24 heures et dont la spécificité est de renforcer les capillaires. Elle augmente donc la capacité d’adaptation de tous les systèmes du corps humain.

Au niveau du cerveau, elle normalise la circulation, ce qui réduit le risque de troubles fonctionnels. Elle améliore la mémoire et l’attention. Elle stimule les performances mentales. Elle favorise la récupération après un accident vasculaire cérébral.

Au niveau du cœur, elle améliore le fonctionnement du système cardiovasculaire. Elle stimule l’endurance du muscle myocarde.

Au niveau du système circulatoire, elle stimule le flux sanguin dans tout l’organisme, elle renforce les parois des vaisseaux et réduit la perméabilité des capillaires en diminuant le nombre et la taille des pores de leurs parois. Elle améliore l’écoulement du sang. Elle réduit la congestion du système veineux. Elle lutte contre l’athérosclérose et l’insuffisance veineuse.

Au niveau des poumons, elle favorise le travail des alvéoles pulmonaires. Elle élimine les dépôts de tabac. Elle améliore la perméabilité des bronches. Elle diminue leur gonflement. Elle facilite l’expectoration des crachats.

De plus, en synergie avec la vitamine C, elle devient un des anti-inflammatoires naturels les plus efficaces.

Une arme contre le vieillissement

Les très nombreuses études menées en Russie ont démontré que la DHQ était très efficace, entre autres, pour ralentir le processus du vieillissement et donc atténuer les effets de l’âge. Ces études ont notamment démontré que la DHQ est un puissant antioxydant dont l’activité est supérieure à celle de la vitamine E ou des caroténoïdes.

La médecine d’aujourd’hui fait peu de place aux capillaires qui pourtant représentent la partie du système cardiovasculaire où s’exécutent les processus les plus essentiels de la circulation et du métabolisme. C’est en effet par le réseau capillaire que l’oxygène et les nutriments arrivent à toutes les cellules de l’organisme, et que leurs déchets sont éliminés. Ce réseau irrigue l’organisme tout entier et contient 80 % de la masse sanguine. La progression du sang dans les 100 000 km de capillaires ne se fait pas grâce au cœur, comme celle du système veineux et artériel. Elle est commandée par un mécanisme péristaltique dirigé par le système nerveux parasympathique (comme l’intestin). Tant que ce système est efficace, le corps garde sa jeunesse, et la DHQ peut y veiller.

Elle agit aussi positivement pour diminuer la viscosité du sang, pour améliorer la micro­circulation au niveau des capillaires qui se dégrade beaucoup avec l’âge, pour protéger le cerveau et les cellules nerveuses, pour combattre la fragilité du système immunitaire due à l’âge et mobiliser les défenses de l’organisme, pour favoriser la régénération des cellules, pour renforcer les parois des vaisseaux sanguins, pour freiner l’oxydation des lipides qui entrent dans la composition de la membrane des cellules et prévenir le vieillissement prématuré de celles-ci.

De plus, ces études démontrent que la DHQ empêche les globules blancs inflammatoires d’attaquer des régions du cerveau fragilisées par l’âge et d’y adhérer en formant des lésions oxydatives, car elle les protège du manque de sang et d’oxygène.

Guide soufre organique

Le médecin des capillaires

On peut anticiper ou confirmer un dysfonctionnement du réseau des capillaires grâce à certains signaux d’alerte, et y remédier grâce à la DHQ, lorsque plusieurs des signes suivants se manifestent :

  • l’apparition d’une couperose et/ou de varicosités,
  • une fatigue chronique, une sensation de faiblesse,
  • de l’irritabilité, des maux de tête, des migraines,
  • une perte de mémoire
  • un refroidissement des extrémités,
  • une sensibilité à la lumière, des yeux fatigués et/ou secs.

Ces signes sont particulièrement alarmants lorsqu’ils se manifestent chez les personnes présentant des pathologies particulières.

Les compléments alimentaires

Il existe de nombreux végétaux qui sont de bons apports de flavonoïdes s’ils sont consommés au quotidien, comme les fruits frais, les légumes crus et cuits, les jus de fruits et de légumes fraîchement extraits à l’extracteur de jus, le thé vert et le thé matcha, le chocolat noir (au moins à 70 % de cacao), etc., tous de qualité biologique. Mais dans la mesure où les aliments sont de plus en plus pauvres en nutriments, les compléments alimentaires contenant de la DHQ sont de plus en plus utiles.

Le Dr Alexander Salmanoff, éminent médecin russe, a établi que la vitesse du vieillissement est en rapport direct avec l’assèchement du réseau capillaire qui permet l’alimentation, le nettoyage et l’entretien des cellules. Il a étudié ce phénomène et, pour le contrer, a inventé des bains chauds à la DHQ, la molécule active de la térébenthine de mélèze sibérien, qui réveillent par la voie physiologique le réseau des capillaires en stase ou en obstruction partielle ou totale.

Il existe aussi un baume à la DHQ sibérienne à appliquer sur la peau et qui agit de la même façon. Il a un effet analgésique local immédiat, et même anesthésique, ainsi qu’un effet anti-inflammatoire.

Un autre complément alimentaire très actif, le Neurophyt, protège et entretien la bonne vascu­larisation capillaire du cerveau (qui à lui seul fait 100 km de longueur), prévenant en particulier la dégéné­rescence du système nerveux neurologique qui nourrit les millions de neurones du tissu cérébral. Il est aussi très efficace pour stimuler la circulation en général, et en parti­culier le système cardiovasculaire. Il a donc une action bénéfique sur l’organisme tout entier. Il agit comme un agent réparateur jusqu’au niveau cellulaire.

Voici comment Alexander Salmanoff justifie l’usage de la DHQ : « La question n’est pas de trouver un traitement pour une maladie bien définie mais de restaurer le corps endommagé du patient, indépendamment du diagnostic. La raison de ces anomalies fonctionnelles réside surtout dans les capillaires. Les traitements actuels négligent l’impor­tance du travail des capillaires où 80 % du sang circule pour approvisionner, dans la profondeur, les organes et les tissus. La conservation et le bon fonctionnement des capillaires doivent être la base de la médecine future. »

 

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